un bijoutier de Sézanne abat un braqueur dans la Marne

Un bijoutier de Sézanne,dans la Marne,a fait feu sur son agresseur venu le braquer ce jeudi vers 16h30.

Le malfaiteur est entré dans la boutique une arme à la main.

Le bijoutier a alors répliqué avec une arme de poing.

Pris en charge par les secours,le malfaiteur n'a cependant pas survécu à ses blessures.

Selon le quotidien d'Île-de-France,le bijoutier a fait feu à quatre reprises.

Un complice du braqueur est en fuite.





















BFMTV

Marne : un bijoutier abat son braqueur d'un coup de fusil

Un bijoutier de Sézanne,dans la Marne,a tiré jeudi sur son braqueur,qui est décédé,a indiqué le procureur de Châlons-sur-Marne.

Le bijoutier a été placé en garde à vue et le complice du braqueur est toujours recherché.

Un bijoutier de Sézanne,dans la Marne,a fait feu sur son agresseur venu le braquer ce jeudi après-midi vers 16h30,a révélé Le Parisien.

Le braqueur est décédé,a annoncé le procureur de Châlons-sur-Marne.

"Le braqueur,dont le pronostic vital était engagé,est mort des suites de ses blessures,après avoir essuyé un coup de fusil du bijoutier",a précisé le magistrat à l'AFP.

"Le bijoutier a été placé en garde à vue",a-t-il précisé.

"Deux hommes armés sont entrés dans la bijouterie.

Le bijoutier est descendu et a fait feu à quatre reprises sur un des deux malfaiteurs",a expliqué le magistrat.

"Les deux individus sont sortis,le blessé s'est effondré devant la bijouterie alors que le complice a pris la fuite.

Il est activement recherché par les gendarmes.

L'autre individu est mort sur place à 17h30,malgré l'arrivée des secours",a-t-il ajouté.

Le bijoutier placé en garde à vue

Deux heures avant,une tentative de braquage avait été commise par deux hommes armés dans une agence du Crédit agricole à Vitry-le-François,dans la Marne,à 65 km à l'est de Sézanne,a indiqué le procureur,qui s'interroge sur un éventuel rapport entre les deux affaires.

Les deux individus étaient entrés dans la bijouterie,menaçant l'épouse du bijoutier,alors seule dans le magasin,son mari étant à l'étage,a précisé à l'AFP l'officier de communication de la gendarmerie.

"Le patron alerté par les cris est alors descendu et a fait feu",a ajouté le gendarme.

Selon lui,le braqueur était dans un état très critique,avec un pronostic vital engagé, et a subi sur place un massage cardiaque.

Le bijoutier a été placé en garde à vue à la gendarmerie de Sézanne et les enquêteurs travaillent à déterminer les circonstances exactes des faits,a-t-on poursuivi à la gendarmerie.

Le complice du braqueur a pris la fuite.

Il est toujours recherché par les gendarmes.





















tf1 news

Bijoutier de la Marne: déjà une dizaine de pages Facebook de soutien

Plusieurs milliers d'internautes ont déjà "liké" ces pages de soutien au braqueur de Sézanne,dans la Marne qui a abattu par balles un braqueur jeudi.



L'une des dix pages de soutien au bijoutier de la Marne créée sur Facebook,qui compte plus de 10 000 likes. (Capture d'écran Facebook)

Sans surprise,à l'heure où nous écrivons ces lignes,une bonne dizaine de pages de soutien Facebook au bijoutier de Sézanne dans la Marne ont déjà été créées,regroupant plus d'une dizaine de milliers de "likes".

L'affaire ressemble à s'y méprendre à l'affaire dite du "bijoutier de Nice",dans laquelle un braqueur avait été abattu par la victime elle-même.

Sur Facebook,une page de soutien avait été ouverte,rassemblant plus de 1,6 millions de "likes".

Jeudi,à Sézanne,un bijoutier victime d'un braquage a sorti une arme,un 9 mm,et tiré à quatre reprises sur l'un des deux malfaiteurs,qui est mort peu de temps après.

Placé en garde en vue à la gendarmerie de Sézanne,le bijoutier a été entendu par les enquêteurs,tout comme sa femme en qualité de témoin,selon le procureur.




















BFMTV

Braquage dans la Marne: le bijoutier en "état de choc"

Une information judiciaire devrait être ouverte samedi dans le cadre de l'enquête sur le braqueur tué par un bijoutier dans la Marne jeudi.



Le procureur de la Marne,Christian de Rocquigny

Le bijoutier qui a tué jeudi un homme qui braquait son commerce à Sézanne (Marne),avait une "autorisation préfectorale" de détention d'arme,et l'enquête dira s'il a agi "en état de légitime défense",a déclaré vendredi le procureur de Châlons-en-Champagne.

Le commençant a été placé en garde à vue.

Le braqueur a "mis en joue" le bijoutier,mais n'avait "pas de munitions" dans son arme,a précisé le procureur.

La vidéosurveillance "confirme" le récit du bijoutier,qui évoque un corps-à-corps.

Le bijoutier,qui "reconnaît avoir ouvert le feu sur le braqueur","était propriétaire d'arme avec une autorisation préfectorale".

L'homme de 54 ans qui "reconnaît avoir tué quelqu'un",est "en état de choc",selon le procureur.

Cinquième attaque

Une information judiciaire devrait être ouverte samed et les policiers sont toujours à la recherche du complice du malfaiteur.

Le Plan Epervier a été déclenché pour le retrouver.

La bijouterie de Sézanne déjà été attaqué quatre fois,selon l'épouse du bijoutier.





















midi libre

le braqueur tué par un bijoutier est un multirécidiviste

Le bijoutier de la Marne qui a tiré sur l'homme qui le braquait,jeudi,était toujours en garde à vue ce matin.

Son agresseur a déjà été condamné à dix reprises dont une fois à 10 ans de réclusion pour "vol avec arme et séquestration".

Que s'est-il passé ?

Selon les images de la vidéosurveillance prises à l'intérieur de la bijouterie,le malfaiteur est entré vers 16h30 dans la bijouterie située dans le centre ville de Sézanne,une comme de 5.000 habitants dans la Marne.

Il a alors été servi par l'épouse du joaillier.

Ce dernier,qui se trouvait à l'étage,est descendu,dissimulant une arme dans son dos,a raconté le procureur.

Après avoir été mis en joue par le malfaiteur avec un gomme-cogne,le bijoutier a reculé et sorti son arme,un pistolet automatique de calibre 9 mm,tirant à quatre reprises.

Des complices recherchés.

"Un ou deux individus",qui attendaient à l'extérieur de la bijouterie,ont pris la fuite en voiture et étaient toujours activement recherchés par les gendarmes de la section de recherches de Reims,qui ont déclenché le plan Epervier,selon le magistrat.

Qui est le braqueur ?

On en sait aussi un peu plus ce matin sur le profil du braqueur décédé.

Il s'agit d'un récidiviste de 36 ans.

Il a déjà été condamné à dix reprises,dont une fois à dix ans de réclusion par la cour d'assises de la Marne pour "vol avec arme et séquestration",a déclaré le procureur de la République de Châlons-en-Champagne,

Il a succombé à ses blessures vers 17H30 jeudi,après avoir reçu quatre balles tirées par lebijoutier.

L'autopsie du braqueur doit avoir lieu dans l'après-midi.

Qui est le bijoutier ?

D'après Foucauld Toulemonde,poissonnier à Sézanne,"c'est la deuxième fois" que le bijoutier,âgé de 54 ans se faisait braquer,la première fois c'était il y a six mois".

Le procureur a également indiqué qu'il semblait que le bijoutier avait déjà été victime d'une attaque "dans des circonstances comparables".

"Ils avaient refait à fond la bijouterie il y a trois quatre mois,elle est toute neuve.

Ils avaient investi dans des caméras,un sas de sécurité.

Ils s'étaient mis à la page",selon M. Toulemonde.

Le bijoutier,propriétaire de sa boutique,et qui vit à Sézanne depuis "cinq six ans",selon le poissonnier,est un "tireur de cible",qui "fréquente le stand de tir".

Depuis le précédent braquage,"sa femme était traumatisée,vraiment heurtée.

Elle avait beaucoup de mal à s'en remettre",a souligné ce témoin.

Y-a-t-il eu légitime défense ?

C'est la première question à laquelle les enquêteurs vont devoir trouver une réponse.

Lors d'une précédente affaire,à Nice,elle n'a pas été reconnue pour un autre bijoutier qui avait couru après son braqueur et l'avait abattu dans sa fuite.

Mis en examen pour homicide volontaire,Stéphane Turk risque 20 ans de prison.

Une partie de l'opinion avait alors pris fait et cause pour le bijoutier,jugé victime d'une insécurité grandissante alors qu'il avait déjà été victime d'un vol à la disqueuse en 2012.

Une page de soutien sur Facebook a recueilli des centaines de milliers de soutiens.

Dès jeudi,des appels similaires étaient lancés sur Facebook à soutenir le bijoutier de Sézanne.

Devant sa boutique,des rubans barraient toujours l'entrée vendredi matin.





















tf1 news

Braqueur abattu : garde à vue prolongée pour le bijoutier de la Marne

La garde à vue pour «meurtre» du bijoutier de 54 ans qui a abattu un homme lors du braquage de son commerce à Sézanne (Marne),une localité de 5.500 habitants à 80 km au sud de Reims,a été prolongée de 24 heures vendredi soir.

Jeudi après-midi,ce commerçant de 54 ans,déjà attaqué à quatre reprises,a ouvert le feu sur un des hommes qui braquaient son magasin.

Alors que les malfaiteurs armés menaçaient son épouse,il est descendu dans sa boutique et a tiré à quatre reprises sur l'un d'eux.

Vendredi,en milieu de journée,près de 200 personnes ont manifesté leur appui au commerçant devant sa boutique.

«Il y a un choc profond ressenti par la population locale qui n'est pas habituée à cette violence»,a déclaré le maire UMP,Philippe Bonnotte,qui a pris part à cette manifestation spontanée avec des membres du conseil municipal et des commerçants.

Le maire de Sézanne s'est cependant dit «rassuré» par les propos du procureur de Châlons-en-Champagne Christian de Rocquigny,décrivant les circonstances des tirs lors d'une conférence de presse.

«Je doute que le commerçant soit incarcéré»,a estimé le maire de la commune,même si,a-t-il insisté l'enquête doit encore déterminer si le bijoutier avait agi en «état de légitime défense».

Le parquet de Châlons-en-Champagne devrait se dessaisir au profit du pôle de l'instruction de Reims et une information judiciaire doit être ouverte samedi matin.

La version du bijoutier confirmée par la vidéosurveillance

Selon le récit fait par le procureur ce vendredi,lors de sa conférence de presse,le malfaiteur est entré vers 16 h 30,le «visage découvert» mais portant «des gants et un bonnet».

il tenait à la main un sac en plastique qui contenait son arme sans munitions,de type gomme cogne.

Il a été servi par l'épouse du joaillier,qui a senti «que ça ne se passait pas très bien».

Le bijoutier,qui se trouvait à l'étage,est descendu,dissimulant une arme dans son dos.

Selon les images de vidéosurveillance prises à l'intérieur de la bijouterie,« il y a bien eu un corps à corps» entre le braqueur et le bijoutier a précisé Christian de Rocquigny.

«Ces images confirment la version du bijoutier»,a souligné le magistrat,ajoutant qu'il avait «une autorisation préfectorale» de détention d'arme et que «l'enquête dira si le bijoutier a agi en état de légitime défense».

Le malfaiteur a «sorti une arme,l'a pointée au niveau du visage du commerçant,le poussant au fond du commerce»,puis a tenté de se saisir de l'arme du bijoutier,qui a tiré.

Le braqueur a ensuite «essayé de prendre la fuite,mais il est tombé» en sang devant le commerce.

Avant de succomber à ses blessures vers 17 h 35,«il a dit aux pompiers : On était trois.

On venait du 94 (le Val-de-Marne )»,a encore expliqué Christian de Rocquigny.

«Un ou deux complices»,qui attendaient à l'extérieur,ont pris la fuite à bord d'une voiture qui était garée en double file.

Ils sont activement recherchés par les gendarmes de la section de recherches de Reims.

Le plan Epervier a été déclenché et un appel à témoins lancé par les gendarmes (03 26 68 64 32.).

L'homme abattu était «le braqueur de Noël»

Le braqueur âgé de 36 ans était récidiviste.

Il était sorti de prison le 24 juin 2010 dans le cadre d'une libération conditionnelle.

La victime avait été condamnée à dix reprises,dont deux fois pour «vol avec arme»,par la cour d'assises des mineurs des Yvelines et la cour d'assises du Val-de-Marne.

Fatihé Mehenni.,est originaire de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne).

Il était définitivement libre,sans obligations judiciaires,depuis juin 2012.

Le jeune homme avait été surnommé par les médias «le braqueur de Noël» lorsqu'il avait attaqué avec un complice le Leclerc du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) le soir du 24 décembre 2000.

Fatihé serait un proche du groupe de rap 113,primé aux Victoires de la musique.

Officiellement artiste de variétés,il figurerait sur la pochette de l’un des disques du groupe de Vitry.

Le braquer de Noël,âgé de 23 ans à l'épqoue,au casier judiciaire déjà impressionnant,était par ailleurs domicilié au 113,rue Balzac,comme les membres du groupe qui se sont inspirés de leur adresse pour trouver leur nom d’artistes.

Le soir du réveillon de Noêl 2000,vers 20 heures,Fatihé Mehenni s’était présenté encagoulé et armé,avec un complice,au magasin Leclerc situé sur la RN7.

Le supermarché venait à peine de fermer.

Menaçant les vigiles,les deux hommes se sont fait rouvrir la grille et pendant que son complice surveillait Fatihé est entré dans le supermarché et a exigé du directeur qu’il lui remette la recette du jour : 100 000 F.

Il a même tiré en l’air pour être plus convaincant.

De leur côté,les vigiles étaient parvenus à mettre enfuite le complice et avaient alerté la police.

Alors que l’ex-artiste de variétés s’apprêtait à prendre la fuite,il est tombé sur les hommes de la brigade anticriminalité qui arrivaient.

Pris de panique,il avait alors pris en otage un vigile avec couteau sous la gorge avant de fuir... dans le magasin.

Durant près de deux heures,la police avait tenté de retrouver le fuyard,fouillant chaque recoin du magasin.

Finalement,les policiers ont décidé de ne plus rien faire et de brancher l’alarme.

Stratégie payante : au bout d’un moment,Fatihé Mehenni est sortide sa cachette et a tenté d’ouvrir une porte à l’arrière du magasin... où l’attendaient les policiers.




















le parisien

Le braqueur tué dans la Marne souffrait de troubles du comportement

Le malfaiteur récidiviste tué jeudi dans la Marne par un bijoutier souffrait de troubles du comportement,et alternait les séjours en prison avec ceux en établissements psychiatriques.



La bijouterie braquée par Fetihé M était toujours sous scellés vendredi.

Alors que la justice cherche à savoir si le bijoutier de Sézanne,dans la Marne,a agi en état de légitime défense et que les soutiens se multiplient à l'égard du commerçant,on en sait un peu plus sur le profil du braqueur tué jeudi.

"C'était un garçon qui souffrait de troubles comportementaux qui sont allés en s'aggravant.

Il alternait la prison avec des séjours assez réguliers en hôpital psychiatrique

Cet été,il était encore je crois,hospitalisé",selon son avocat,Gérard Zbili,qui a appris vendredi après-midi la mort de son client.

10 condamnations à son acrif

Fetihé M. venait de fêter ses 36 ans et habitait Choisy-le-Roi,dans le Val-de-Marne.

Son casier judiciaire comportait dix condamnations,a expliqué vendredi matin le procureur de la république à Châlons-en-Champagne,Christian de Rocquigny.

Il avait notamment été condamné le 10 octobre 2003 par la cour d'assises du Val-de-Marne,pour sa participation au vol à main armée d'un supermarché du Kremlin-Bicêtre,le soir du 24 décembre 2000.

Ce méfait lui avait valu d'être surnommé le "braqueur de Noël" par le journal Le Parisien qui avait relaté les débats.

Lors du procès,il avait également été condamné à deux ans d'emprisonnement pour son évasion du tribunal de grande instance de Créteil,le 21 mars 2001,alors qu'il comparaissait pour une autre affaire.

Sorti de prison le 24 juin 2010,dans le cadre d'une libération conditionnelle,selon le procureur,"F.M" faisait depuis l'objet de récurrents problèmes psychiatriques,a précisé son avocat Gérard Zbili.

"Dans les dossiers que j'ai eu à traiter,je sais que dans les modes opératoires,il n'y avait pas de violences physiques.

Les armes étaient factices ou non chargées

Bien entendu,un vol à main armée n'est pas anodin et je ne retranche rien à la gravité de tels faits qui relèvent,faut-il le rappeler,des assises".

Il a "fait tout ce qui était possible"

Gérard Zbili a décrit son client comme un garçon avec un "côté attachant" car en souffrance.

"Il vivait d'expédients" et était "en rupture avec une famille qui n'arrivait probablement pu à supporter la réitération des faits commis".

Selon une source policière,le malfaiteur aurait commencé son parcours de délinquant à l'adolescence,et "fait tout ce qui était possible".

Lors de ses arrestations,Fetihé M. était présenté officiellement comme artiste de variété,proche du groupe de rap 113,originaire de Vitry,primé aux Victoires de la musique.

Mais lors de son procès,il avait expliqué ne pas faire partie du groupe,selon les informations de Libération.fr.


















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Braqueur tué dans la Marne: le bijoutier remis en liberté

La garde à vue du bijoutier a été levée et l'homme a été remis en liberté.

Le bijoutier qui avait tué jeudi avec un pistolet un braqueur récidiviste dans son commerce à Sézanne,dans la Marne,a été remis en liberté a l'issue de sa garde à vue et sera convoqué ultérieurement devant un juge,a-t-on appris samedi de source judiciaire.

"L'intéressé a été remis en liberté.

Une information judiciaire des chefs de tentative de vol sous la menace d'une arme et d'homicide volontaire sera très prochainement ouverte au pôle de l'instruction du tribunal de grande instance de Reims",a indiqué le parquet de Reims dans un communiqué.




















BFMTV

Bijoutier de la Marne : "C'était un corps-à-corps"

Eric Bey,le bijoutier de Sézanne qui a tué son braqueur jeudi soir,a accordé un entretien à TF1 samedi après-midi.



Après deux jours de garde à vue,la justice a remis en liberté samedi Eric Bey,le bijoutier de Sézanne qui a tué un braqueur jeudi soir.

Dans l'après-midi,l'homme,âgé de 54 ans,a ensuite accordé une interview à plusieurs journalistes,dont Sébastien Hembert de TF1,dans le bureau de son avocat.

"J'ai tiré à plusieurs reprises,sans savoir combien de fois.

Pour me défendre.

J'ai tenté le tout pour le tout car il pouvait tirer à n'importe quel moment.

C'est allé très très vite",a notamment expliqué le bijoutier,qui avait une  autorisation préfectorale pour détenir un pistolet automatique.

"J'ai vu le canon de l'arme (du braqueur),sans savoir ce que c'était.

J'ai continué à faire marche arrière et j'ai pu sortir mon arme,l'armer.

Il a continué à venir sur moi et donc j'ai tiré",a-t-il ajouté.

Il souligne notamment qu'il s'agissait d'un "corps-à-corps".

Eric Bey refuse aussi que son cas soit récupéré pour élargir la définition de la légitime défense.



















tf1 news

La famille du braqueur tué dans la Marne va se constituer partie civile

La famille du braqueur récidiviste tué jeudi par un bijoutier à Sézanne (Marne) va se constituer partie civile,a-t-on appris mercredi auprès de son avocat,Me Philippe Dehapiot.

"Leur état d'esprit n'est pas un état d'esprit de vengeance,mais un état d'esprit de vérité,de respect de la mémoire de leur frère et de leur fils",a déclaré à l'AFP Philippe Dehapiot.

Agé de 36 ans,et condamné notamment deux fois pour vol avec arme par la cour d'assises des mineurs des Yvelines et la cour d'assises du Val-de-Marne,l'homme avait été tué jeudi alors qu'il braquait une bijouterie à Sézanne,une localité de quelque 5.500 habitants à 80 kilomètres de Reims.

Le bijoutier,54 ans,ressorti libre samedi après deux jours de garde à vue,a expliqué avoir "tiré à plusieurs reprises pour se défendre".





















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